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Depuis Mardi, en région Pas- de-Calais,  Les époux Lavier, tous les deux âgés de 33 ans, ont été placé en garde à vue aux commissariat central de Boulogne afin d'être entendu sur des déclarations émises par deux de leurs enfants qui les accusent de maltraitances.

Suite à un signalement, les deux enfants ont été placés en institution pour maltraitance.

Des maltraitances physiques.

Des actes odieux de trop déjà et condamnables !!!!!!!!!!!!

Le couple s'est présenté donc au commissariat de Boulogne pour obtenir des précisions sur les motifs de placement dont leurs enfants font l'objet.

Le couple sans emploi vit avec leurs 4 enfants dont une fille adolescente, placée elle aussi mais dont il n'a pas récupéré la garde depuis 2001. Des mineurs  âgés de 1 à 18 ans  à Boulogne sur mer.

RAPPEL DE SON AFFAIRE PREDCEDENTE L'AFFAIRE OUTREAU

Mr. LF avait été condamné depuis juillet 2004 à 6 ans de prison par la cours d'assise du Pas de calais situé à Saint Omer pour motif suivant :

- VIOL SUR SA BELLE FILLE et AGRESSIONS SEXUELLES SUR ENFANTS

Son acquittement  en APPEL fût prononcé depuis 2005.

Son épouse Mme LS a effectué trois ans de détention provisoire avant sa condamnation qui lui a valu trois ans de prison avec sursis en première instance pour motif suivant:

- CORRUPTION DE TROIS MINEURS.

En Appel, elle avait été acquittée.

Suite aux déclarations du couple L à l'AFP, ils sont les seuls à résister à l'épreuve  de l'instruction, de la détention, et des procès.

La famille a vécu grâce aux indémnités importantes accordées par l'état dans l'affaire d'outreau et bénéficiaient de revenu solidarité active.

Une affaire qui a fait la une devant les médias depuis le 22/02/01 à la suite de signalements des services sociaux.

Le parquet de la région qui avait ouvert une information judiciaire pendant toute la période  des investigations, des procédures. Il en résultait d'ailleurs la mise en cause de 18 personnes, pour leur complicité, participation à des orgies pédophiles.

Des accusations portées par les victimes.

Une nouvelle affaire de maltraitance à suivre pour des parents qui se disent innocents alors que des faits passés et actuels reviennent remettre en cause leurs responsabilités concrètes notamment sur des maltraitances présumées sur leurs deux enfants placés.

Trois hommes ont été mis en examen et écroués, poursuivis pour l'enlèvement assorti d'une demande de rançon jeudi dernier à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) d'un garçon de 13 ans, qui a finalement été retrouvé libre, a annoncé mercredi le parquet de Bobigny.

L'adolescent, dont la famille est originaire du Pakistan, avait été enlevé le 27 janvier au matin près de son domicile alors qu'il se rendait au collège. Une rançon de 200.000, puis 250.000 euros, avait été réclamée, les ravisseurs demandant à ce que le versement se fasse à l'étranger, avait dit le parquet.

C'est après trois interpellations, dans la nuit de vendredi à samedi dans le cadre de l'enquête, que l'otage a été libéré durant la nuit de samedi à dimanche, à 01H00 du matin, à Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise). Un autre homme a été interpellé dimanche soir à Paris, un des trois hommes arrêtés plus tôt a été relâché.

Ils ont été présentés mardi soir devant un juge d'instruction, qui les a mis en examen, pour avoir "arrêté, enlevé, détenu, séquestré un mineur de moins de 15 ans avec la circonstance que les faits ont été commis en bande organisée et que la victime a été arrêtée, enlevée, détenue et séquestrée comme otage, sans libération volontaire avant le 7ème jour pour obtenir (...) le versement d'une rançon".

La qualification diffère pour le troisième homme, tenant compte de la libération de l'otage avant son interpellation.

Incarcérés, ils doivent passer vendredi devant le juge des libertés et de la détention qui statuera définitivement sur la détention provisoire.

Les hommes mis en examen, âgés pour deux d'entre eux de 34 ans et de 28 ans pour le troisième, sont connus des services de police et de la justice pour de multiples condamnations de nature correctionnelle, mais sans commune mesure avec la gravité des faits reprochés, a informé le parquet.

Au plus fort de l'enquête, plus de 80 policiers ont été mobilisés.

L'enlèvement a été qualifié par le parquet de "crime crapuleux". Il ne s'agirait pas d'une piste évoquée au début de l'enquête d'un crime réalisé sur fond de rivalité entre deux familles pakistanaises.

Un homme âgé d'une trentaine d'années a été mis en examen pour meurtre de mineur de moins de 15 ans après la découverte du corps d'un nouveau-né dans une poubelle à son domicile à Nancy.

Une jeune femme se serait présentée, jeudi en fin d'après-midi, à la maternité de Nancy avec une hémorragie alors qu'elle avait visiblement accouché peu auparavant, selon le Républicain Lorrain.

L'hôpital a donné l'alerte et une perquisition au domicile de la jeune femme a permis aux policiers de découvrir le corps d'un nouveau-né dans une poubelle.

Son compagnon a été placé en garde à vue puis mis en examen pour meurtre de mineur de moins de 15 ans. Il a toutefois été laissé en liberté, selon le parquet.

Des analyses sont en cours pour déterminer les circonstances de la mort de l’enfant, dont la dépouille semble présenter des traces suspectes.

 articles sur : www.francesoir.fr

Mardi soir, vers 23h, quand cette mère de famille, âgée de 18 ans, est rentrée à son domicile à Calais, elle a découvert sa petite fille, âgée de sept semaines, tuméfiée, couverte d’hématomes. Lire la suite l'article

Photos/Vidéos liées

 Bébé de sept semaines battu à mort: le père écroué Agrandir la photo

 

Frédéric, son compagnon, était ivre à ses côtés.

 

Elle a immédiatement donné l’alerte, rappelle Nord Littoral.

Transportée au CHU de Lille, la petite fille est décédée de ses blessures, mercredi matin.

Les parents de Lola ont été interpellés et placés en garde à vue.

La mère de famille est ressortie libre de sa garde à vue.

Selon Me Emilie Leschaeve, l’avocate commise d’office de Frédéric D., « aucun élément pour le moment, ne permet de dire qu’elle est impliquée dans le drame ».

Une avocate qui ajoute :

Toutefois, « l’enquête devra éclaircir de nombreuses zones d’ombre du côté des deux parents ».

Après 48 heures de garde à vue, Frédéric D. a été mis en examen pour violences volontaires ayant entraîné la mort.

Jeudi soir, il a été placé en détention provisoire.

« J’ai trouvé un homme complètement effondré, qui n’arrêtait pas de trembler et de pleurer » confie son avocate.

« C’est un dossier difficile. Le principal suspect continue de nier tout en bloc. Si ce n’est pas lui, c’est donc que quelqu’un d’autre a donné des coups à cet enfant. L’enquête ne fait que continuer » indique Jean-Michel Joubert, procureur de la République de Boulogne-sur-Mer.

De son côté, Pascal, le père de l'accusé affirme, dans La Voix du Nord que son fils "n'est pas, comme on pourrait le croire à la vue de ce drame, qu'un alcoolique qui a tué un enfant. C'est pas vrai".

Un père qui ajoute que tant que la preuve matérielle ne sera pas là, présente, irréfutable "on ne croira pas cette version. On attend beaucoup de l'autopsie".

Une autopsie qui a été pratiquée vendredi après-midi.

encore un "fait divers" de maltraitance qui éclate au grand jour..

Entendu ce matin au petit déjeuner... il me laisse un gout de nausée...

Certains mots résonnent dans mon esprit..."amaigrissement"... "insuffisance pondérale"

"mensonge"... " recherche de nourriture"...

Ca ne peut que me faire penser à la pire situation de ma carrière...

Un petit collégien, à mes tout débuts... un habitué de mon bureau... chaque jour, il venait vider ma corbeille à bonbons. Il aimait venir me parler, sans jamais révéler, mais je n'ai jamais su si c'était les bonbons ou mon écoute qui l'intéressait !

Comment oublier, cette veille de vacances de Noël, où je lui ai rendu visite en pédiatrie, où il avait été hospitalisé tant il était maigre, tant sa température corporelle était basse !

La réponse médicale m'avait révolté !... des piqures d'hormones.... malgré mon signalement, ceux de l'école.... malgré le suivi éducatif ...réponse révoltante aussi... : "Ah bon, il y a un problème de nourriture dans cette famille ?"... la colère.... la rage.... l'impuissance... jusqu'au drame...

Jusqu'au placement.... et au retour en famille...

8 ans après on en est où ??

Il est à la maison, jeune majeur, sans aucune qualification, en attente de décision de justice pour violences et désertion...

Sa sœur, presque majeure... mon dieu comme je l'ai soutenu dernièrement.... 3 signalements en 6 mois... a arrêté l'école, et vacille entre SDF et prostituée....

Le frère, placé en établissement pour troubles du comportement (tu m'étonnes !!)...

Et encore 3 petites sœurs derrière....





Tutelle... suivi éducatif.... suivi social... placements...suivi judiciaire....

Et un à un les enfants qui entrent dans la déviance après avoir subi celle de leurs parents...

Et nous, travailleurs sociaux... avec nos petits moyens.... nos écrits.... nos espérances.... on est désolé.... tristes et impuissants....



(Ne jamais baisser les bras... toujours y croire...)

Comment peut-on ?! j'en ai les larmes aux yeux lorsque je vois tous ces témoignages qui démontrent une fois de plus, ceux que subissent des enfants innocents,.

C'est honteux !!!!!!!!!