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Encore un enfant victime de conflits d'adultes. Un traumastime dont l'enfant avec l'aide des personnes agréées devra se reconstruire. Un enfant mit en danger dans la plus totale irresponsabilité des adultes et dans une situation de soustraction intra- familiale.

Comment peut-on rester aussi calme devant une telle situation grave ? il faut agir, prendre des mersures radicales, urgentes à l'encontre de parent défaillant et arrêter les bavardages inutiles. Vous connaissez déjà la situation de la famille.

Seulement, elle était inconnue du grand public jusqu'à aujourd'hui.

Chaque année en France, 130.000 couples divorcent. Bien souvent, ils ont des enfants. Comment ces derniers vivent-ils la situation, sur le coup mais aussi tout au long de leur vie ? L'Union des familles en Europe (UFE) a enquêté sur ce sujet et publie ce mercredi ses résultats.

63% des enfants de divorcés déclarent avoir énormément souffert de la séparation de leurs parents. Pour 59% d'entre eux, elle a généré un sentiment d'abandon durable et d'isolement. "On s'attendait à une critique en bonne et due forme du divorce par les enfants concernés, mais pas de cette intensité", confie au Parisien le porte -parole de l'UFE.

"Au fond de moi, je ne m'en suis jamais remis"

Un enfant de divorcés, aujourd'hui âgé de 38, ans, raconte au Parisien : "Je ne m'y attendais pas du tout. Il y avait bien quelques disputes, mais rien qui puisse me faire penser que cela allait si mal (il était alors âgé de 11 ans, ndlr)". Pour lui, c'était comme si sa vie "s'écroulait" et les quatre ans qui ont suivi le divorce sont jalonnés de trous noirs. "Mes résultats à l'école ont chuté (...) Une de mes soeurs est devennue anorexique, je suis certain que tout est lié", explique l'homme, qui ajoute : "Au fond de moi, je ne me suis jamais remis du divorce".

Les principaux impacts du divorce

Les résultats de l'enquête sont consultables ici. On y découvre que les belles-mères récoltent 58% d'opinion négative de la part des enfants de divorcés et les beaux-pères 46%.
Autre point saillant : le rôle des grands-parents. Pour 56% des enfants de divorcés, ils doivent apporter leur soutien, de l'affection et de l'amour.
L'impact de la séparation des parents semble se répercuter sur toute la vie de l'enfant. 56% des enfants de divorcés disent avoir été affectés dans leurs études (démotivation, difficultés à se concentrer, dépression), 41% dans leur vie professionnelle et 88% dans leur personnalité.

Dernier point important et lourd de sens : une grande majorité (82%) des enfants de divorcés croient au mariage pour toute la vie et 72% au grand amour. "C'est flagrant chez les couples adolescents dont les parents ont divorcé, commente le pédopsychiatre Marcel Rufo sur RMC. Ils sont de petits coupls modèles".

Une mère de famille écrouée pour avoir caché ses jumeaux pendant plus d'un an dans l'intention de les soustraire à leur père vient d'être remise en liberté après que les deux enfants ont été retrouvés par les gendarmes, a-t-on appris vendredi de source judiciaire dans le Tarn.

Cette documentaliste d'une quarantaine d'années s'était volatilisée fin 2009 avec ses jumeaux, un garçon et une fille de sept ans, préférant vivre dans la clandestinité plutôt qu'ils voient leur père.

Elle avait été interpellée début décembre à la faveur d'un contrôle routier de routine, et incarcérée pour non-présentation d'enfants et enlèvement.

Malgré la pression de la prison, elle persistait à refuser de dire où se trouvaient les jumeaux. Elle avait observé grèves de la faim et de la soif.

Les jumeaux ont été retrouvés sains et saufs mardi dans les Bouches-du-Rhône. La mère accuse son ancien compagnon d'attouchements sexuels sur la jumelle et sur sa fille aînée, née d'un précédent mariage et aujourd'hui âgée de 14 ans.

Le père dément les accusations, il dénonce une manipulation et réclame de pouvoir voir ses enfants. Une enquête sur d'éventuels abus sexuels a conclu en sa faveur.

A la suite d'une plainte de son mari, la documentaliste a été condamnée en son absence à six mois de prison ferme à Castres (Tarn) en juin 2010.

Les enfants retrouvés, le maintien en détention de la mère ne s'imposait plus. Elle a été remise en liberté sous contrôle judiciaire jeudi, a indiqué le substitut du procureur de Castres, Anissa Oumohand.

Deux proches de la mère chez qui les jumeaux étaient hébergés ont été mis en examen pour complicité de non-présentation. Les enfants ont été confiés aux services sociaux.

Deux soeurs de 12 ans et 15 mois, disparues depuis mardi midi de leur domicile du Val d'Oise, étaient activement recherchées mercredi soir par la police qui a lancé un appel à témoins et semble écarter pour l'heure la thèse de l'enlèvement.

Selon cet appel à témoins, l'aînée des deux soeurs, Rose-Kerlie, qui mesure 1,70 m et est corpulente, est "handicapée", souffrant "d'un retard mental" et d'asthme.

Une centaine de policiers, quinze pompiers accompagnés de six chiens, et un bateau des sapeurs-pompiers équipé d'un sonar circulant sur l'Oise, étaient déployés mercredi soir. Des signalements ont également été diffusés aux chauffeurs de bus et de taxi et affichés dans les gares et les lieux publics ouverts le soir.

Cet appel a offert "une piste assez sérieuse" aux enquêteurs, selon Michel Bernard, directeur de cabinet du préfet du Val d'Oise: une dame a affirmé avoir "vu des enfants qui correspondaient aux signalements" de l'adolescente et de sa petite soeur dans un train parti de Saint-Lazare à destination de la gare des Mureaux dans les Yvelines.

"Nous avons trouvé quelque chose sur les images (des caméras de vidéosurveillance) qui pourrait correspondre. Nous sommes en train d'exploiter cette piste", a-t-il poursuivi. Mais le haut fonctionnaire a expliqué n'exclure "aucune hypothèse", "notamment dans l'environnement immédiat", autour du domicile de la famille des deux disparues, dans le quartier des Linandes vertes à Cergy. "Nous continuons les recherches" à Cergy, a précisé M. Bernard.

Pour l'heure, les autorités semblent toutefois écarter la piste de l'enlèvement. "Pour l'instant, nous ne disposons d'aucun élément qui ferait penser à un enlèvement", a signalé M. Bernard. "On sait qu'à midi (mardi) les enfants n'étaient plus là, car quelqu'un est passé et ne les a pas vues".

"Je ne vois pas d'infraction pénale", ni "aucune suspicion d'enlèvement", a renchéri la procureur de la République du Val-d'Oise Marie-Thérèse de Givy. "Elles sont bien parties" parce qu'"il faut une clé pour ouvrir la résidence", a-t-elle ajouté.

"Les deux enfants étaient confiés à la garde d'une fille aînée, qui a dû s'absenter. La maman s'est rendue compte de la disparition de ses enfants vers 15H00. Elle a prévenu la police à 16H55 hier (mardi)", a détaillé le directeur de cabinet du préfet du Val d'Oise.

Selon l'appel à témoins, Rose-Kerlie est "de type haïtien", "porte les cheveux mi-longs et crépus" et serait "vêtue d'un manteau sombre, d'un bas de jogging gris et de ballerines noires". Elisabeth, sa jeune soeur, serait "vêtue d'un manteau rouge".

Toute personne susceptible d'apporter des éléments à l'enquête est priée de prendre contact avec le commissariat de Cergy au 01.34.43.17.17

Agissons pour retrouver ces deux petites fillettes. informations sérieuses. appel à témoins.!!!!

Faux témoignages s'abstenir !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

vous pouvez retrouver cet article sur : www.msn.com rubrique :  M6-actualité/ France.

En mars dernier, cet adolescent s’était enfui du domicile familial, en Vendée.

Après avoir été retrouvé, il avait expliqué qu’il avait fugué par crainte d’être à nouveau menotté.

Il venait de passer trois heures attaché pour avoir répondu à son père, rappelle Ouest-France.

Plusieurs semaines auparavant, avec son frère, ils avaient passé plusieurs nuits menottés, après avoir semble-t-il commis un vol.

Un père qui avait pris l’habitude de sanctionner ses deux enfants en les attachant, quand ils n’avaient pas fait leur devoir.

Il pouvait même leur interdire de manger pour les punir, toujours selon Ouest-France.

Mardi, il a été condamné par le tribunal correctionnel de La Roche-sur-Yon à six mois de prison avec sursis, selon Ouest-France.

Il devra également verser 8.000 euros à chacun de ses deux enfants, précise encore Ouest-France.

Un père de famille présenté comme un "homme d’un milieu catholique traditionaliste" qui a tenté d’expliquer sa démarche répressive en confiant au tribunal qu’il n’avait "pas d’autre solution pour les empêcher de voler et ainsi protéger leur avenir."