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  • : Le blog de stop-aux-abus-des-services-sociaux.rendez-nous-nos
  • : ici sur mon blog, nous parlerons des 136 000 enfants qui sont placés chaques années dans des institutions,des agissements douteux,des abus d'autorités que les services sociaux mettent en application pour garder les enfants jusqu'à leur majorité.nous parlerons aussi et surtout de la souffrance parents/enfants ,des conséquences qu'elles peuvent avoir sur des familles aimantes,brisées par ces institutions qui n'ont pour but que de s'enrichir sur notre compte....je dénonce tout cela sur mon blog.
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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 05:48

 

 

Une peine de cinq années de prison avec sursis a été requise jeudi devant les assises du Loir-et-Cher contre une mère de quatre enfants, accusée d'avoir noyé puis enterré trois nouveau-nés.

 

 


    Marinette Pezin, 44 ans, est accusée d'un triple homicide volontaire sur des nourrissons, en théorie «l'un des crimes les plus odieux», pour lequel elle encourt une peine pouvant aller jusqu'à la réclusion à perpétuite, a rappelé l'avocate générale Bénédicte Laude. 

 

 

 

 

    Mais dans un réquisitoire modéré, la magistrate a appelé les jurés à tenir compte du contexte familial particulièrement difficile de Mme Pezin, marqué par un mari unanimement qualifié de tyrannique, violent avec les enfants.  «M. Pezin ne se contentait pas de violenter ses enfants, il avait érigé ça en art», a-t-elle asséné, soulignant la «perversité» de ce chauffeur routier, de 20 ans l'aîné de l'accusée.

 

 

 Il a «poussé le vice jusqu'à se présenter comme victime» -il s'est porté partie civile- alors qu'il est plutôt le «mobile» des infanticides, a-t-elle estimé.

 

 


    Mme Pezin, qui comparaît libre, a reconnu avoir tué trois nouveau-nés en les noyant à l'accouchement, dans sa baignoire, puis en les enterrant dans le jardin de sa maison à Contres (Loir-et-Cher). Les corps avaient été découverts des années plus tard par les nouveaux propriétaires du pavillon, revendu en 2003 alors que les époux Pezin entamaient une procédure de divorce. Mme Pezin avait expliqué qu'elle ne voulait plus d'enfant avec cet homme, qui faisait vivre à sa famille un véritable «calvaire». 

 

 

 

    Son avocat, Jean-François Mortelette, a plaidé l'acquittement, invoquant notamment des expertises relevant que Mme Pezin avait peut-être été victime d'une abolition de la conscience au moment des faits.  Le verdict est attendu jeudi en fin de journée.

 

 


 

 

 Ce n'est pas cher payer pour tout le mal et ces horribles actes commis sur ses bébés.

C'est révoltant !!!!!!!!!!!!! du sursis alors qu'elle a commis un triple homicide !!!!!!!!!!!

 aliasMais il n'y a aucune justice dans cette affaire !!!!!!!!!!!!

la mère a commis des crimes volontaires, elle aurait pu aller jusqu'à la réclusion criminelle à pertuité pour ces faits affreux !!!!!!!!!!!

Que font-ils, les magistrats ? appliquez les lois !!!!!!!!!!!!!!!!!

Elle devrait avoir la pertuité !!!!!!!!!!!!!!

A croire que les lois ne sont faites que pour les monstres, et les criminels de la pire espèce !!!!!!!!!!!!!!!!!!

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 05:29

 

 

Le procès d'une mère de quatre enfants, accusée d'avoir tué trois nouveau-nés en les noyant dans sa baignoire, s'est ouvert mardi devant les assises du Loir-et-Cher à Blois.

 

 

 

Marinette Pezin, ouvrière viticole de 44 ans, comparaît libre pour homicides volontaires sur mineurs, un crime passible de la réclusion à perpétuité.

 

Elle est accusée d'avoir noyé trois nouveau-nés à l'accouchement, en les maintenant sous l'eau dans sa baignoire. Elle avait caché ces trois grossesses à son mari ainsi qu'à ses enfants.

"J'ai fait des choses horribles", a-t-elle déclaré d'emblée au jury, composé de huit femmes -dont la présidente et ses deux assesseurs- et quatre hommes. "Aujourd'hui je dis que je ne suis pas capable de faire des choses pareilles", a-t-elle ajouté, la voix nouée par les sanglots.

 

Lors de l'enquête, la jeune femme avait expliqué qu'elle avait tué ses trois enfants parce que son mari, un routier de près de 18 ans son aîné, présenté comme autoritaire voire tyrannique, ne voulait pas d'autres enfants.

 

L'affaire avait été révélée après qu'un retraité eut découvert, en jardinant, le corps d'un nouveau-né, caché dans un sac poubelle, dans le jardin de son pavillon à Contres (Loir-et-Cher) le 23 janvier 2006.

 

Des analyses ADN avaient permis aux enquêteurs de retrouver la mère de l'enfant: Marinette Pézin, épouse d'Edmond Pezin, les anciens propriétaires du pavillon où les corps ont été retrouvés.

 

Le procès, prévu pour durer jusqu'à vendredi, a commencé par l'examen de l'enfance difficile de l'accusée, violée pendant plusieurs années par un père tyrannique.

Son avocat, Me Jean-François Mortelette, a expliqué avant l'audience qu'une grande partie des débats porterait sur l'"altération des facultés" de sa cliente au moment des faits, décelée par des experts.

 

"Dans cette affaire, il est question d'une nouvelle infraction: plutôt qu'infanticide, je préférerais qu'on parle de néo-naticide, le meurtre d'un enfant dès sa naissance", a-t-il déclaré à la presse.

 

 

 L'accusée sortant du palais de justice

 

 

 


 

 

alias

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 22:04

 

 

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Rebondissement dans ce qui apparaît comme la pire affaire d'infanticides que la France n'ait jamais connue. Le 25 juillet 2010, huit cadavres de nouveau-nés étaient découverts à Villers-au-Tertre, un petit village du Nord. Rapidement, la mère présumée des enfants avait été mise en examen et placée en détention provisoire. Jusqu'alors incapable d'expliquer son geste, Dominique Cottrez a apporté mercredi 2 février, un élément de réponse : elle affirme avoir été victime de viols répétés. C'est par crainte que ses enfants soient ceux de son père qu'elles les auraient tués...

 

 

Macabre découverte

 

 

 

Tout commence le samedi 25 juillet. Les nouveaux propriétaires d'une maison située dans le village de Villers-au-Tertre découvrent des ossements dans leur jardin alors qu'ils faisaient des travaux de terrassements. Dans deux sacs plastiques, les cadavres de deux nourrissons.

 

 

 

Terribles aveux

 

  

Appelés sur place, les gendarmes suspectent immédiatement les précédents propriétaires d'être les parents des nourrissons. Les militaires n'ont pas à chercher bien loin : le couple a emménagé dans un pavillon situé à un kilomètre de là. Interrogée par les forces de l'ordre, la femme, Dominique, 45 ans, craque et avoue être la mère des enfants morts. Mais elle n'en reste pas là et indique qu'il y a d'autres cadavres.

 

Six nouveaux corps

 

 

Aidés de cinq chiens et deux maîtres-chiens, les enquêteurs fouillent le jardin de la maison qu'elle occupe avec son mari et découvrent six nouveaux corps de bébés.

 

 

 

La mère coupable ?

 

En garde à vue, cette aide-soignante a indiqué qu'elle avait étouffé ses enfants et a affirmé que son mari n'était au courant de rien, puisqu'elle lui aurait même caché ses grossesses.

"Je ne voulais plus d'enfants", a-t-elle expliqué aux enquêteurs.

 Le procureur de Douai annonçait alors que Dominique Cottrez était mise en examen pour "homicides volontaires de mineurs de moins de 15 ans" et écrouée. Incarcérée depuis six mois, elle revient sur ses propos lors de son examen devant le juge d'instruction, ce mercredi 2 février, et révèle son terrible secret.

 

Agée aujourd'hui de 46 ans, elle affirme avoir été victime d'inceste dés l'âge de 8 ans. Ce serait ce terrible traumatisme qui aurait poussé cette aide-soignante à tuer huit de ses nouveau-nés. La crainte que les enfants ne soient de son propre père aurait été la plus forte. Selon les analyses ADN effectuées sur les cadavres des nourrissons, six des huit enfants seraient ceux de Pierre-Marie Cottrez. Cependant, un doute subsiste en ce qui concerne les deux autres nouveau-nés, faute d'un ADN de qualité suffisante.

 

 

Le père complice ?

 

 

 

Interrogé dès le début de l'enquête, l'époux a affirmé ne pas avoir été informé des grossesses de sa femme.

Il n'a pas été mis en examen pour "non dénonciations de crimes et recels de cadavres" comme l'avait requis le parquet.

Pourtant, selon l'avocat même de Dominique Cottrez, Me Berton, il semble "compliqué" que Pierre-Marie Cottrez n'ait rien vu.

Il a déclaré dans les colonnes de La Voix du Nord : "Mme Cottrez explique que pendant des mois, au pied de son lit, il y avait des sacs poubelle contenant des fœtus, ce que la reconstitution a confirmé". 

Pour le moment, Pierre-Marie Cottrez doit être entendu en qualité de témoin assisté.

 

 

 


 

 

alias

 

 

 

 

 

 

 

 

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 12:34

 

 

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Le procès d'une mère de quatre enfants, poursuivie pour avoir tué trois nouveau-nés en les noyant dans sa baignoire au moment de l'accouchement, s'ouvre mardi devant les assises du Loir-et-Cher.

  

  

 

L'accusée, Marinette Pezin, une ouvrière de 44 ans, comparaît libre pour homicides volontaires sur mineurs. Le procès doit durer jusqu'à vendredi.

 

L'affaire avait débuté le 23 janvier 2006 : ce jour-là, Mehmet Unlu bêche le jardin de son pavillon à Contres (Loir-et-Cher) lorsqu'il tombe sur un sac poubelle contenant le corps d'un bébé en état de décomposition. Ce retraité explique aux gendarmes qu'il a acheté ce pavillon à Edmond et Marinette Pezin trois ans plus tôt.

 

 

Les gendarmes retrouvent rapidement la trace des anciens propriétaires. Des analyses ADN lèvent le doute : Mme Pezin est bien la mère du bébé mort.

 

 

Elle explique aux enquêteurs qu'elle a caché sa grossesse à son mari et à ses quatre enfants. Elle dit avoir accouché seule et maintenu le nouveau-né sous l'eau pour le noyer.

 

 

Marinette Pezin est mise en examen et laissée libre sous contrôle judiciaire.

 

Le 12 octobre suivant, premier rebondissement : Mme Unlu découvre, en plantant des poireaux dans son jardin, un nouveau sac poubelle contenant un deuxième corps de bébé.

 

 

"Nous avons acheté une maison avec un jardin, pas un cimetière", s'indigne son mari.

 

 

Cette fois, l'état du cadavre ne permet pas de mener des tests ADN.

 

 Placée en garde à vue, la jeune femme avoue qu'elle a noyé trois nouveau-nés, toujours de la même façon, dans sa baignoire après l'accouchement.

 

Et toujours à l'insu de sa famille, qui ne s'est aperçue de rien car la mère de famille n'avait pris que six ou sept kilos à chaque grossesse.

 

Elle affirme que son mari, un routier décrit comme autoritaire, ne veut plus d'autre enfant.

 

Elle expliquera lors d'un autre interrogatoire que la vie était déjà suffisamment "infernale" avec ses quatre premiers enfants.

 

Le troisième corps sera retrouvé un mois plus tard, enfoui sous un tas de bois, dans le jardin des Unlu.

 

L'ancien mari de l'accusée, Edmond Pezin, dont il a divorcé en 2003, et l'association "Enfance et partage", se sont portés parties civiles.

 


 

 

 

aliasMadame vous méritez la peine de mort y compris tous ceux qui font du mal aux enfants !!!!!!!

si vous ne vouliez plus avoir d'enfant, vous pouviez avoir recours aux moyens contraceptifs !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et en discuter comme un accord avec votre ex-mari !!!!!!!!!!!!!!

vous êtes une honte !!!!!!!!!!!!!!!!! un monstre, un assassin d'enfants !!!!!!!!!!!!!!!!!!comment osez vous, vous appropriez le droit d'ôter la vie à des êtres innocents !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! j'espère seulement que la justice rendra justice à ces pauvres nouveau-nés.!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

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